Comment reconstruire nos villes sur elles-mêmes pour accueillir plus, offrir une vraie qualité de vie, sans s’étaler ni épuiser les ressources naturelles ? C’est le défi de la ville de 2050 qu’explore l’urbaniste nantais Sylvain Grisot.
Pourquoi faut-il repenser les villes ?
Nous serons confrontés, durant le XXIe siècle, à des crises climatique, de la biodiversité, mais aussi de ressources (1). Quand on est « faiseur » de ville (urbaniste, élu local), on est face à cette triple problématique car construire nécessite des matières premières (eau, ciment…) qui risquent de manquer, tout comme l’espace.
Or, la ville comme on l’a construite ces dernières décennies a des conséquences en matière d’émissions de gaz à effet de serre, par la construction et la vie de ses bâtiments, mais aussi du fait des mobilités qu’induit l’étalement urbain (2). Il faut changer le modèle de fabrique de la ville.
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